Les gens s'aiment... parfois...
Vendredi dernier, j'ai du aller en catstrophe à l'aéroport pour cause de retard d'avion et d'impossibilité d'attendre plus longtemps...
Du coup, je suis allée attendre à l'aéroport... Je me uis assise seule dans un coin et une fois n'est pas coutume je n'avais pas de téléphone portable accroché à l'oreille... Pas envie de parler sûrement... J'ai donc regardé les autres évolués, ce que j'aime faire par dessus tout. Les gens attendent, ils sont presé de voir cesser cette attente interminable... Dan sleurs gestes on voit l'inquiétude, l'anxiété... Aucune position n'est confortable, ils bougent se rongent le songles certains tripotent leur téléphone portable... Certains se parlent "Vous savez quelque chose sur l'avion en provenance de...". Soudain la porte coulissante s'ouvre, une personne sort, la déception de lit sur les visages des gens les plus proches de la porte car ce n'est pas LA personne qu'ils attendaient... Alors on recommence, on va voir le panneau d'affiche, et on atend nerveusement impatiement !
Il y a avait cette famille un couple la cinquantaine et un jeune 18 ans. Le mari était en retrait assis au bar snack, la femme était devant tenant dans ses bras de gros paquets cadeaux de Decathlon, le fils faisait des va et vient entre son pére et sa mére. Ce fut l'explosion de joie quan dses deux enfants arrivérent, j'ai cru qu'elle allait lacher les cadeaux. Elle offrit le premier à sa fille qui s'était précipitée vers elle, le seconbd elel agrda dans les mains et alla rejoindre son fils qui avait filé s'asseoir prés de son pére, le fils ne devait pas être très tactile et a mebété sa mére un bref instant en évitant le traditionnel calin. Ils ont bu un verre tous ensemble heureux de se retrouver.
Un homme aussi m'a fait rire, il était seul dans l'aéroport, mais il tenait 4 bouquets de lys avec lesquels il a taché son pantalon, il attendait du monde 4 dames et un homme, elles ont toutes été heureuses de recevoir des fleurs en descendant de l'avion.
Pour cretains dont les proches n'étaient pas encore là regarder les autres s'enlassaient, n'étaient pas facile. Une femme enceinte de 8 mois au moins qui détournait le regard, un papa avec son fils qui attendait mére et femme qui eux s'éloignaient et se rapporchait à chaque fois.
Ce qui fait le plus bizarre en fait, quand on est là à regarder tout ça, c'est que pendant l'attente il fait froid et dès qu'une famille se retrouve il y a comme une chaleur assez inexplicable...
Je trouve dommage que l'on oublie ce sentiment quand on est toujours les uns avec les autres, que l'on s'habitue à cela au point de ne pas remarquer le manque qu'occassionnerait un départ...
Partir c'est pour mieux se retrouver souvent... Se souvenir à quel point l'autre compte à nos yeux...
Les gens s'aiment dans les aréoports, les gars... Les veilles de départ...